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 ≈ don't fear the reaper. {alicia}

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Alicia Owlsley

Alicia Owlsley
Date d'arrivée : 05/02/2016
Messages : 114
Points rp : 0
Name : winter rose. (aurélie)
ID card : clarke. © hepburns
Age : twenty nine yo.
Work/Studies : editor-in-chief in Starlight, a fashion magazine.

- me before you.
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≈ don't fear the reaper. {alicia} Empty
MessageSujet: ≈ don't fear the reaper. {alicia}   ≈ don't fear the reaper. {alicia} EmptyMer 17 Fév - 17:44


alicia owlsley
“You only get one life. It's actually your
duty to live it as fully as possible.”

âge Dangereusement proche de la trentaine, Alicia est âgée de vingt-neuf ans et aborde fièrement une peu lisse et sans rides. lieu de naissance C'est la magnifique ville de Hartlepool en Angleterre dans le comté de Durham qui a accueilli la brune dans ce monde le vingt-trois novembre de l'année 1987. origines|nationalité Fière de son accent british, elle est de nationalité anglaise mais les traits de son visage trahissent les origines italiennes héritées du côté maternel de son arbre généalogique. statut civil Éternelle insatisfaite, elle traite avec la même exigence sa vie professionnelle et sa vie privée. Célibataire depuis plusieurs années, elle est mariée à mon travail et n'a que faire des flatteries ou autres du genre. Refus de l'amour, coeur de pierre ou tout simplement baignée par la peur de l'engagement, nul ne le sait. emploi ($$$$$$) Reconnue pour ses talents et son travail de rédactrice en chef chez Starling Magazine, Alicia vit entièrement pour son métier. Certains diront qu'elle est exigeante et d'autres tyrannique, à l'image du fameux film The Devil Wears Prada. Ce poste incombe d'être une image publique, l'erreur est donc à proscrire. situation familiale La famille Owlsley est riche et doit leur fortune à la réussite de la maison d'édition paternelle, Owlsley Books. Néanmoins, c'est une famille heureuse et complice avec comme tout le monde, des hauts et des bas. passe-temps Les sorties entre amis, regarder des tutoriels décoration sur youtube, lire aussi bien des romans à l'eau de rose que des thrillers, jouer du piano. souvenir d'enfance Les week-end passés à faire du camping en famille, à faire griller des chamallows sur le feu. Le sentiment d'une famille soudée, unie et complice. C'est une tradition qui a lieu chaque année. secret inavouable Quand elle n'a rien à faire le soir dans son appartement, il lui arrive parfois de mettre Dirty Dancing. C'est alors qu'elle met à chanter et à faire une chorégraphie délurée, la broche à cheveux en guise de micro. Les films romantiques lui permettent de s'évader et de la faire rêver. Mais pour le reste du monde, elle déteste les films à l'eau de rose. Le seul témoin reste son chien. premier baiser Dans la cour de l'école, à douze ans approximativement. Son souvenir : affreusement horrible.  pire peur La perte d'un membre important à ses yeux, tout simplement et comme pour la plupart des gens. Le drame serait un membre de sa famille. rêve le plus fou Un saut en élastique ou parachute. C'est un rêve fou car elle ne pense jamais avoir les capacités pour le faire un jour. porte-bonheur Un mince bracelet en perles noire avec au centre une aile d'ange très fine en argent. Un cadeau de ma mère lors d'une virée shopping rien que toutes les deux. Une réelle complicité mère et fille. traits de caractère loyale, rationnelle, volontaire, persévérante, ambitieuse, attentionnée, généreuse, sincère et cache une certaine spontanéité. méfiante, solitaire, rancunière, bourreau de travail, exigeante, bornée, fière et impatiente. groupe HIDING MY HEART.

“ moving on means we have to protect ourselves.
Fille de riche famille, les Owlsley, Alicia n'a jamais vécu dans le manque. ≈ Quand elle n'était encore qu'une enfant, elle a cassé le vase hérité de la grand mère maternelle. Ayant trop peur de se faire gronder, elle a accusé son frère. ≈ Du fait de son statut social, Alicia aurait pu être une fille pourrie gâtée et capricieuse. Mais au contraire, elle est toujours restée humble, simple et débordante d'énergie. ≈ Elle s'est progressivement détachée financièrement de sa famille pour pouvoir créer sa propre renommée. ≈ Rédactrice en chef chez Starlight, un célèbre magazine de mode en Angleterre, elle est connue pour son excellence et sa rigueur au travail. ≈ Elle est souvent associée au personnage de Meryl Streep, dans Le Diable s'habille en Prada. ≈ Elle est surnommée la sorcière par ses employés. ≈ Pleinement consciente de la réputation qu'elle a auprès de ses collaborateurs, elle ne le montre jamais en public mais ça l'affecte beaucoup. ≈ Autrefois, elle rêvait d'une relation amoureuse telle celle qu'entretenait ses parents, étant son plus beau modèle. ≈ Lorsque son premier amour l'a trompé prétextant qu'elle n'était pas assez présente à cause de son travail, Alicia s'est convaincu que l'amour n'apportait rien de bon. Elle y a complètement renoncée. ≈ Alicia refuse de l'admettre publiquement mais il lui arrive de pleurer devant un film à l'eau de rose, dont elle prétend détester. ≈ C'est une grand fanatique de The Walking Dead. ≈ Elle peut paraître avoir un coeur de pierre, c'est absolument tout l'inverse. Si elle pouvait, elle ferait de son appartement un refuge pour animaux abandonnés. ≈ Alicia joue du piano depuis son plus jeune âge. Elle espérait en faire son métier autrefois. ≈ Lorsque la demoiselle a rencontré la première fois Damian, c'était une véritable explosion de sensations. ≈ Ce n'est qu'avec ce parfait inconnu qu'Alicia a pu s'ouvrir aux autres et à elle-même.

pseudo|prénom winter rose. aka aurélie. âge|lieu de résidence twenty-two yo. (south of france)connexion everyday. avatar emilia clarke. nature du personnage inventé. commentaires love you, guys ! crédits (c) tumblr.



Dernière édition par Alicia Owlsley le Mer 17 Fév - 22:34, édité 16 fois
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Alicia Owlsley

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Name : winter rose. (aurélie)
ID card : clarke. © hepburns
Age : twenty nine yo.
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- me before you.
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MessageSujet: Re: ≈ don't fear the reaper. {alicia}   ≈ don't fear the reaper. {alicia} EmptyMer 17 Fév - 17:44


don't fear the reaper.
“Here but now they're gone. Romeo
and Juliet are together in eternity... ”
Comme toutes les petites filles, j'ai eu des rêves. Certains réalisables et d'autres complètement délurés, à la limite de la folie. Je rêvais d'être danseuse étoile pendant un temps puis je passais à la vocation de devenir vétérinaire, sans mentionner le désir primaire de toutes little girls : être princesse. Puis en grandissant, j'étais prise par l'envie de parcourir le monde, l'indépendance. Paris. Madrid. Berlin. Rome. Mais à quoi bon vivre si on ne s'autorisait par le droit de rêver ? Rêver donne de l'espoir et la force de combattre le temps. Le temps qui passe, qui file à vive allure. Il est ensuite trop tard lorsque nous nous en rendons compte. Où est-il passé ? Qu'en ai-je fais ? Il est perdu. Il est irrécupérable.

La propagande du prince charmant. Celui qu'on voit dans les Walt Disney. Lorsque nous sommes enfants, j'ai entendu de nombreuses fois, que ce soit de la bouche de ma mère ou de ma nounou, que j'étais forcément lié à un homme et que le destin me conduirait automatiquement à lui. Qu'un jour ou l'autre, je tomberais sur l'homme de ma vie qui saura me combler et me faire vivre un réel conte de fée. On me vendait du rêve. Mais au final, il faut nous rendre à l'évidence. Nous ne faisons plus partie de la génération de nos parents, où les hommes étaient galants et savaient préserver leur femme de toutes les cruautés du monde. Ce côté fort, protecteur et amoureux. Nous sommes une génération qui est dans l'immédiat et dans l'évolution. Une génération qui ne peut se satisfaire d'une monotonie et d'une dépendance à autrui. Comment je me suis rendue compte de cette évidence ? En étant totalement neutre et  objective aux récits de mes amis. Et j'en ai également fait les frais. Tromperie et manipulation. Mon petit ami de l'époque s'envoyait en l'air avec mon assistante personnelle. Du moins, mon ancienne assistante désormais. J'étais au bord du gouffre. Tirailler. Déchirer. Haine. C'est à cet instant précis  que j'ai compris que le prince charmant n'existait, n'existe et n'existera jamais. Il n'y a qu'une succession de mensonges et d'illusions.



wheel in the sky.
“Wheel in the sky keeps on turnin'
I don't know where I'll be tomorrow.”
Un miroir ne triche pas. Il reflète telle quelle l'image qu'il absorbe. Il n’interprète rien. Il ne suggère rien. Il n'ajoute aucun artifice. C'est à nous de faire notre propre analyse. De voir et de croire. Notre reflet n'est pas vraiment le symbole de nos rêves. Le temps est une chose précieuse qui n'est malheureusement pas accordé à tous. Alors on observe nos traits, notre corps, debout devant ce miroir. Je ne m'étais pas détaillée ainsi depuis un long moment. Est-ce cette vitre qui est terne ou serait-ce le renvoi de ma propre solitude. Qu'avons-nous accompli durant ces dernières années ? C'est à ce moment, avec notre réflexion et les réponses évidentes qui s'enchaînent à nos interrogations, que les regrets nous envahissent.

Et il y a eu ce fameux soir, il y a environ un an, où je l'ai rencontré, lui. Je sortais de cet interminable défilé de mode, suivi de près par une réception pour prouver une fois de plus que cette grande marque de prêt-à-porter a les relations nécessaires qui contribuent à sa notoriété. C'était bien évidemment pour cette raison-là que je faisais partie des invités d'honneur. Mais cette soirée traînait terriblement en longueur. Si bien que j'ai fini sur le quai de la gare de Londres, talons aiguilles à la main et à bout de souffle due à ma course. Le dernier train pour Hartlepool s'éloignait à l'horizon jusqu'à ce que je peine à le voir. Voilà que j'étais coincée dans cette ville qui m'exaspérait un peu plus à chaque minute, faisant bouillonner en moi cette colère. Aujourd'hui encore, je me souviens de ma réaction à ce moment-là : jeter un de mes talons contre le fameux train dans un geste de désespoir. J'aurais voulu hurler et lancer un juron contre le destin, même si je n'ai pu empêcher un petit de sortir de ma gorge. Et puis je l'ai vu arriver avec un petit sourire en coin, il venait de récupérer ma chaussure sur les rails. C'est en relevant la tête que son visage s'est offert à ma vue. Un charme des plus déstabilisant. Je ne pouvais détacher mon regard. Pour la première fois, il était un imprévu que j'appréciais à ma plus grande surprise. Malgré moi, je me sentais totalement vrillée face à sa spontanéité. Surprenant. Il s'est abaissé à mes pieds, avec juste un "puis-je ?" avant de me remettre mon talon haut. Tel le dessin animé de Cendrillon, je me sentais fondre dans ses yeux profonds. Je n'étais pas habituée. Depuis des années, on me fuyait à cause de ma réputation. Et aujourd'hui, un parfait inconnu m'approchait. Contre toutes attentes, sa proposition était de passer la nuit en sa compagnie à visiter la ville et boire pour oublier cette fameuse histoire de train. Rien de sous-entendus. Pourtant, j'ai longuement refusé, tentant de l'éviter mais ce jeune homme revenait toujours au grand galop. Était-il têtu ou n'acceptait-il simplement pas le rejet ? "Tu as du temps à perdre, tu peux le perdre avec moi." Il n'avait pas tout à fait tord. Le fait d'être aussi insistant m'a fait céder. Damian. Il savourait pleinement sa victoire. Quelqu'un de rationnel aurait déjà abandonné l'affaire depuis plusieurs minutes. Or, il était resté à mes côtés, me vantant éperdument sa compagnie et la beauté de la ville de Los Angeles. Je dois l'avouer, il était doté d'un fort pouvoir de persuasion. Nous sommes alors partis à la conquête de Los Angeles. Et sans vous mentir, c'était la plus belle nuit de ma vie. Je me suis sentie libre avec une poussée d'ailes. Je ne faisais plus attention aux regards des autres. Je faisais ce dont j'avais envie. J'ai laissé la femme impulsive, spontanée et dynamique se réveiller du plus profond de mon être où elle s'était endormie depuis des années. J'avais le sourire. Le même qui était dessiné sur les lèvres de mon compagnon. Il faisait ressortir, par je-ne-sais-quel-moyen, le meilleur de moi-même. La femme que j'espérais être. Comment le pouvait-il ? Il avait l'air de si bien me connaître. Un sentiment partagé. Au fur et à mesure de la nuit, une grande complicité s'est installée entre nous, accompagnée progressivement d'une certaine ambiguïté. Entre l'alcool et la magie de cette nuit, nous avons fini tous les deux dans une chambre d’hôtel. Ce sont les rayons de soleil frappant mon visage le lendemain matin qui m'ont réveillé. A mes côtés, cet homme, qui m'avait comblé et au corps si parfait, était endormi. J'aurais voulu rester dans ses bras, faire mine de dormir encore juste un peu pour en profiter. Mais une explosion m'atteint au coeur quand j'ai aperçu l'heure. J'allais une fois de plus rater mon train pour Hartlepool. C'est totalement paniquée que je suis sortie en trombe de la chambre, après m'être habillé rapidement. C'est une fois assise confortablement en première classe du train que j'ai pris le temps de réfléchir. Je n'avais ni son nom ni son numéro de téléphone. Juste le souvenir ancré à jamais de cette merveilleuse aventure.
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